[JdR RP] Les terres d'Izuka

Voilà, je reposte un sujet RP ( esperons qu'il va tenir plus d'un mois ^^). Donc petite règles au préalable:
- Les supermans, grosbills, rambos, spaces marines ou toutes autres brutes capable d'enchaîner des OTOK sont interdis (en magie aussie, à moins que l'incantateur ne soit 'out' pour quelques jours mais la sa doit être exeptionnel...)
- On est en RP, donc on frag pas son pote sans raison (RP) valable, on s'en prend pas non plus au joueur par l'intermédiaire de son perso...
- Et enfin, on évite les anachronismes et les languages en contradiction avec le perso...

Bon je poste l'historique est le lancement du JdR à la suite , les fiches de persos sont sur un autre sujet pour surchargé celui là ( je préviens c'est médiévale asiatique avec une dose de fantastique et soupçons de technologie vapeur ; seul train et dirigeable en transport moderne ; le tout mixé en esprit maga et manhwa )

[Allez, on lance le JdR]

- Kârn se situer dans les caves d'un entrepôt, proche de la place du marché de Drakazhan. la porte d'entrée situé en haut d'un escalier, une demi douzaine de mètres au dessus du ninja. La douce chaleur des rayons du soleil passé à travers les trous des planches moisit de la porte et venait s'opposé à la fraîcheur venant des entrepôts souterrains... La pièce où se trouvé Kârn était encombré de caisse de marchandise et de cageot ondulé par l'humidité...

- Kârn était adossé à un muret construis il y peu, juste sous les canalisations d'évacuation des eaux usées du marché, les seuls de la ville... Le shinobi parcourait du regard le parchemin de quête:


Ordonné par:
-La coalition du "Sombre émeraude"
détentrice de la partit Est du marché et des niveaux inférieurs du marché

- La respectable coalition du "Sombre émeraude", recherche des personnes téméraire et digne de confiance pour se débarrasé d'une infestation de monstres orquoïdes dans les niveaux inférieurs du marché...
- Un adhérant de la coalition du "Sombre émeraude" attendra les aventuriers à l'entrée des niveaux inférieurs une demi-lunaison après la dépose de cette avis...


- La date indiqué sur le tampon de la ville date d'il y a 15 jours... Kârn tourna la tête vers le couloir qui s'enfonçait dans les niveaux inférieurs, tout était paisible...

Venant de l'exterieur, un bruit net et régulier se fit entendre. La porte souvrit, et la pièce fut immédiatement illuminé. Une silhouette apparut alors, un bâton en main, un parchemin dans l'autre. On ne le distinguer pas vraiment tant la lumière du jour était devenu forte. IL s'avança, faisant résonner son bâton sur les marches. La porte se referma lentement derrière lui. Il descendit à la rencontre de jeune homme, un sourir sur les lèvres. Quand il ne fut plus qu'a un mètre de l'autre individu, il le salua amicalement et lui tendit son parchemin, exactement le même que celui du menbre de la coalition.
Il le dévisagea, lui laissant ainsi le temps d'examiner son parchemin. Il sourit. Il ne l'avait jamais vu et n'en avait jamais entendu parler...

- Alors Kârn, tu attendais quelqu'un ?

Il le regardais directement dans les yeux, son regard amical, mais si pénétrant semblait percer tous les secrets... Son visage souriant ne pouvait être dater : il pouvait trés bien n'avoir que 20 ans, tous comme il pouvait en avoir 80. Il émanait de lui une grande sympatie, mais aussi, on pouvait sentir qu'il avait déjà vécu de nombreuses aventures.

Kârn examina le nouvel arrivant et murmura lentement:
- Margihan... interessant...
Il s'écarta du mur et fixa le mage
- je pense qu'il y aura d'autre personne à tenter la mission... L'on attendra encore une petite heure... Après tout, dans les sous-sols, le jour ne se dissocie pas de la nuit...

Xion sourit, en rangeant le parchemin.

- Cela ne m'étonnerais pas ...

Il semblait se rémémorer quelques souvenirs.

- Sais-tu avec précision le nombreux des "magnifiques" êtres que nous allons rencontrer ? Tout en parlant, il le fixait droit dans les yeux, parcourrant ainsi ses pensées, à la recherche d'informations.

Il entendait par là les orcs, et toutes les créatures difformes qu'ils risquerait de rencontrer. Mais pourtant, la sincérité ce lisait sur son visage, car en effet, pour lui, une vie est une vie, quelle qu'elle soit ... Il souriait continuellement.

N'ayant pas de réponses, il en déduit qu'il n'en savait rien. Le temps s'écouler dans le silence, toujours souriant. Il regarder Kârn d'un oeil perçant.

-cela fait déjà longtemps que nous attendons, pourrions nous aller à l'encontre de nos admirables hôtes. S'il le faut, Nous pourrions laisser une lettre sur l'une des caisses pour ceux qui souhaite nous rejoindre. Déjà un parchemin et une plume flotter à côté d'un flacon d'encre.